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23 mai 2011

Libres comme le vent. On écrit Vintimille, on lit modernité

Il n’est pas nécessaire d’être de la pure main-d’oeuvre ou un réfugié pour se déplacer d'un bout à l’autre du monde. Il suffit d’être des enfants de notre temps pour ressentir le besoin de partir pour devenir autre chose. Reconnaître que, dans le fond, malgré les différences, nous nous ressemblons tous beaucoup, c'est aussi reconnaître qu'il n’y a pas des peuples civilisés et des peuples barbares.

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