Un centre de rétention administrative (CRA) désert. Du jamais vu à Bordeaux. Depuis le 13 août, date à laquelle une avocate a soulevé l'impossibilité pour les retenus d'accéder librement à un téléphone
- ce qui va à l'encontre du droit de communication des étrangers - une vingtaine de personnes en attente de leur expulsion ont été libérées. Cette affaire, jugée à Bordeaux, a révélé les difficultés des étrangers pour faire valoir leurs droits : sans téléphone, ils ne peuvent pas contacter le consulat ou un avocat, alors qu'ils n'ont que quarante-huit heures pour faire un recours en cas de notification d'un arrêté de reconduite à la frontière.
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