29 nov. 2007

Défense des droits aux soins

J’ai voulu que ma patiente ait une reconnaissance de ses droits aux soins et à la protection. Je n’ai pas accepté que l’homme soit un loup pour l’homme. J’ai voulu que l’homme soit pour l’homme, et je ne suis pas seul à vouloir ainsi. Francis Remark

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Si, un commentaire : que c'est une phrase lyrique - et très émouvante - aussi belle que celle de Dupuytren citée dans le même document (c'était à propos des émeutes des ouvriers de la porcelaine à Limoges, je ne sais plus quand ? pas des Communards ? ) "Messieurs les Gendarmes, vous n'avez pas devant vous des Insurgés, vous avez des Blessés !).

Mais dans le contexte, je ne sais pas du tout quelle fut l'efficacité de l'injonction du Médecin (car c'est était une de la part de Dupuytren).

Le Bon Dieu (ou Allah !) a une grande QIR et il reconnaîtra les siens ...



En attendant, et ne voulant pas passer pour trop ignare, j'ai, en attendant d'aller sur Wikipedia, tenté de me rancarder sur Dupuytren dans le "Petit Robert des noms propres" (éd 2006). Grâce à quoi j'ai appris que ce chirurgien était passé à la postérité pour avoir mis au point "l'opération destinée à soulager la rétraction permanente des doigts, dite "Maladie de Dupuytren"".
Mon commentaire : Vous voyez bien que ce Dupuytren, c'était un brave homme préoccupé de soulager les maux de ses contemporains - et qu'à ce titre c'est au Paradis qu'il est maintenant (il mort, Dupuytren ??? oui, ses dates tjs d'après le Petit Robert : Limousin 1777 - Paris 1835 - donc, vous avez repéré mon erreur plus haut : sa phrase ne pouvait en toute rigueur historique s'appliquer aux Communards.)


Mais, pardonnez-moi, Monsieur Barz : vous allez croire, ce qui n'est pas du tout le cas, je vous assure, que je prends votre blog pour une cour de récré ...

Félicie.