Ne voulant pas rester sur la touche dans le débat sur les réformes au Moyen-Orient dans les deux dernières années, les gouvernements arabes se sont affirmés contre les militants et les réformistes de la société civile, entraînant une augmentation significative du nombre des prisonniers d’opinion arabes. Le retour du recours aux solutions de force dans les pratiques politiques de la région et la mise en sourdine des appels de la communauté internationale en faveur de la liberté et des réformes ont aggravé ce mouvement.
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